7 mai 2010

La contre-expertise


Bon, vous le savez nous avons qu'une appréciation mitigée de la médecine locale.

Du coup, comme Arthur continuait de tousser, de refuser de manger, de rendre ses repas, etc. Marie-Anne a pris les devants et s'en est remis à la bonne vieille médecine française. Une visite chez une pédiatre française de Fulham plus tard est le verdict est tombé : une première laryngite au fond de la gorge.

On a désormais une prescription un peu plus riche que "deux cuillères de patience, matin et soir", mais pour sûr on ne frôle pas encore la surmédication. Allez, on va espérer que ce nouveau diagnostique soit plus précis et le traitement plus efficace... La suite au prochain bulletin médical !

1 commentaire:

  1. Ah la la, la médecine anglaise... lorsque je me suis cassée l'orteil là-bas, ils m'ont dit de prendre de l'ibuprofène.... Rien ne vaut la médecine française... Allez, rétablissez vite ce petit bonhomme au visage d'ange qu'il nous tarde de rencontrer !

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