Trois petits tours de chauffe puis on commence à monter progressivement sur les virages qui s'inclinent à 42 degrés. Et puis on tourne. On s'agrippe au guidon qui n'a pas de frein, et au vélo qui n'a pas de vitesse ni de mode roue-libre. Donc on pédale pour avancer, pour freiner, pour rester en équilibre. Impressionnant, car si la pente n'augmente pas, plus on est haut dans le virage et plus le dénivelé est déconcertant - pour ne pas dire effrayant.
Superbe expérience qui me fera encore plus apprécier les exploits des pistards lors des prochaines échéances olympiques. Merci ma chérie!
Tu n'as pas l'air de vouloir recommencer l'expérience....
RépondreSupprimerJe me demande comment on peut se débrouiller sans roue libre ni freins !
Au fait, y-a-t-il des pistard(e)s au féminin ?